17.8.11

Souvenirs heureux de la Saint-Napoléon à la casaire*. Les tirs à la cible bien souvent ratés, le mât de cocagne encore luisant de graisse, les courses, les pugilats qui finissaient parfois mal et surtout un quart de pot de vin pour chaque homme.**
Je ne peux pas vous en dire davantage ; cette année, je n’y étais pas.

Pas plus qu’à Paris où on m’a dit que le préfet de police avait interdit les bains froids en amont du pont de la Concorde, de monter sur les arbres des Champs Elysées, de vendre, d’acheter ou de tirer des fusées, pétards, bombes et autres pièces d’artifices dans les rues et aux pompiers de quitter leurs pompes… Comment s’amuser alors ? Mais quand même ; pour la joute sur la rivière entre le pont Royal et le pont des Tuileries et le tir d’un grand feu d’artifice place de la Concorde, c’était là qu’il fallait être. Qui sait, peut-être l’année prochaine ?


*La caserne
** Pour en savoir plus…

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